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À propos

Votre enfant a des difficultés à se concentrer ? Pendant les devoirs, il gigote, ne tient pas en place, se tient la tête quand il écrit et perd sa motivation… La lecture lui demande de gros efforts et le fatigue. Il confond de nombreuses lettres comme le b d p q ? On vous a évoqué un trouble dys (dyslexique, dyspraxique, dysgraphique…), de l’attention (TDA, TDAH) ou un trouble autistique.

Enfants à l’école

Les réflexes archaïques et les troubles dys (dyscalculie-dyspraxie-dysgraphie-écriture…)

En travaillant les réflexes, les troubles dys s’estompent. Par exemple, l’intégration du réflexe tonique labyrinthique (RTL) permet à l’enfant de mieux planifier ses actions et d’avoir une meilleure compréhension de la verticalité. Cela va l’aider par exemple à mieux aligner ses chiffres pour faire les opérations. La dyspraxie est un trouble lié à une mauvaise coordination oculomotrice et une difficulté de gestion de la planification et une non automatisation des schémas moteurs. Pour la dyspraxie, il faudra travailler sur plusieurs réflexes et sur une zone du cerveau appelé les ganglions de la base (notamment le putamen qui gère l’automatisation motrice et la suppression des mouvements non désirés).

Les réflexes archaïques et les troubles de l’attention (TDA, TDAH)

Plusieurs réflexes peuvent impacter la concentration et l’attention. Certains enfants sont très agités et bougent constamment sur leur chaise. Il s’agit certainement du réflexe de Galant ou du réflexe tonique symétrique du cou (RTSC). D’autres enfants semblent dans leur bulle, comme s’ils étaient figés. Cela peut être dû au réflexe de paralysie par la peur (RPP).

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